Sans titre, 1988, encre sur papier Arches, MA 13252 © T’ang Haywen Archives © T’ang Haywen / ADAGP, Paris, 2024
Arrivé à Paris en 1948, officiellement pour y suivre des études de médecine, T’ang Haywen ne quittera plus la France. Il découvre un pays où la création est en pleine effervescence. Comme d’autres artistes étrangers, il s’y confronte à la modernité occidentale et, à l’image des premiers artistes chinois venus à Paris pour se former, dont Zao Wou-Ki (1920-2013) ou Chu Teh-Chun (1920-2014), il devient une des figures marquantes de ce foyer bouillonnant de vie artistique qu’est alors Montparnasse.
Artiste discret, T’ang Haywen s’affirme pourtant progressivement comme une figure majeure de la création contemporaine et de la modernité chinoise. Il expose de son vivant dans de nombreuses galeries d’art en France et à l’étranger, ainsi qu’au Centre Pompidou en 1989. Il bénéficie à partir de la fin des années 1990 d’une reconnaissance internationale.
À travers une sélection d’une centaine d’œuvres majeures, l’exposition présente un panorama des grandes étapes de sa carrière, ainsi que l’essentiel des facettes du travail d’un artiste qui recherchait, selon ses propres mots, « une peinture idéale, unissant le monde visible et le monde de la pensée ».
Artiste discret, T’ang Haywen s’affirme pourtant progressivement comme une figure majeure de la création contemporaine et de la modernité chinoise. Il expose de son vivant dans de nombreuses galeries d’art en France et à l’étranger, ainsi qu’au Centre Pompidou en 1989. Il bénéficie à partir de la fin des années 1990 d’une reconnaissance internationale.
À travers une sélection d’une centaine d’œuvres majeures, l’exposition présente un panorama des grandes étapes de sa carrière, ainsi que l’essentiel des facettes du travail d’un artiste qui recherchait, selon ses propres mots, « une peinture idéale, unissant le monde visible et le monde de la pensée ».